
Le projet modifie diverses lois et le Code des sociétés et des associations et clarifie un certain nombre d’éléments dans les dispositions relatives aux quotas de genre des sociétés cotées. Il s’agit par exemple de l'extension des quotas de genre aux membres du conseil de direction des sociétés cotées et des organisations d'intérêt public.
En outre, des quotas de genre sont instaurés pour la Cour des comptes et les comités de direction des entreprises publiques autonomes.
L’avant-projet est soumis pour avis au Conseil d’État, aux entreprises publiques autonomes (skeyes, Proximus, SNCB, Infrabel, bpost), à Belfin, à Assuralia et à la Cour des comptes.